The november criminals – Sam Munson

Éditeur : Hachette romans
Nombre de pages : 397
Date de parution : 2 novembre 2016
Prix : 18,00€ Notepaillons3

81edhxysjilRésumé : Addison Schacht, 18 ans. Je deale un peu d’herbe, mais bon, à mon échelle, rien de bien méchant. Je ne glande rien au lycée, mais à mon niveau, ça n’a rien d’étonnant. De toute façon, ce qui vous intéresse, c’est ce qui s’est passé, tout a commencé le jour où Kevin Broadus, un type du lycée, a été abattu. Le jour où, parce que tout le monde s’en foutait, j’ai décidé d’enquêter, avec pelle, ma pote  » et plus si affinités ». Après, si vous voulez connaître la suite, il va falloir vous accrocher.

Mon avis : Ce n’est plus un secret :  j’aime les romans policiers. Un roman policier destiné aux ados ? Ça me va aussi !

Addison n’est pas le plus populaire du lycée, ou s’il l’est ce n’est pas pour les bonne raisons. Quand un élève du lycée est assassiné sur son lieu de travail, il est comme tout le monde un peu choqué. Mais, même s’il ne le connaissait pas vraiment, il décide de mener l’enquête.

J’ai commencé ce livre pleine d’espoir : celui de lire une bonne enquête et surtout de passer un bon moment… Sauf que j’ai vite été un peu déçue… C’est un roman destinée aux jeunes adultes et je l’ai trouvé long à lire. Souvent les enquêtes policières sont palpitantes, là il y a trop d’introspection de la part d’Addison, le narrateur. Cette enquête n’en est pas vraiment une, c’est surtout un prétexte pour le narrateur de faire le point sur lui-même. On a alors de long paragraphes à lire et très peu de dialogue.
L’histoire par elle-même n’est pas inintéressante, c’est juste que je ne m’attendais pas à ça au vu de la 4ème de couverture et qu’il m’a donc fallu plus de temps pour rentrer dans l’histoire. Addison est un personnage attachant (mis à part son addiction, mais là c’est une question de principe qui m’est propre), il a été un peu malmené par la vie et ne s’en sort pas trop mal finalement. C’est d’ailleurs ce meurtre et sa résolution qui va lui faire remarquer qu’il n’est pas si mal loti. Finalement c’est plus un livre initiatique qu’une enquête policière.
Passé les premières pages où j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, j’ai tout de même passé un bon moment lecture avec ce roman.

Je remercie Hachette romans pour cette lecture.

23/65

23/65

Positive – Paige Rawl

Éditeur : Hachette romans
Nombre de pages : 397
Date de parution : 26 octobre 2016
Prix : 17,00€ Notepaillons5

41majtgvazlRésumé : Paige Rawl est une adolescente rayonnante. Pom-pom girl, footballeuse, excellente élève, tout semble lui réussir. Jusqu’au jour où elle révèle son secret à sa meilleure amie : elle est séropositive, sa mère lui a transmis le HIV. Dans les heures qui suivent, le harcèlement commence. Ses camarades laissent des mots cruels dans son casier. Ils chuchotent sur son passage. Paige ne s’est jamais sentie aussi seule. Pour la première fois, elle ne sourit plus. Cela aurait pu être la fin de son histoire. Mais cela en était le début.

Mon avis : Le résumé m’a séduite, le sourire « positif » sur la couverture aussi. Et surtout, ça faisait un moment que je n’avais pas lu d’histoire vraie et ça me manquait.

Paige est séropositive de naissance. Et être séropositive au collège, où les gamins ne comprennent rien et sont vite sectaires, n’est pas facile à vivre.

D’emblée Paige m’a plu. Elle est dynamique, positive, entrainante et elle voit toujours le verre à moitié plein. Ce genre de personne est rare et c’était un plaisir de « faire sa connaissance ». Ce qui l’était moins c’était de voir que l’idiotie humaine n’a pas de limite. Je le sais, je ne suis pas née de la dernière pluie, mais ça m’afflige toujours autant de le constater.
La vie de Paige est plutôt ordinaire, malgré la maladie. Les progrès de la médecine lui permette de vivre une vie quasi normale. À part quelques hospitalisations par-ci par-là, elle va en cours et suit même des activités extra-scolaires. Une vie quasi normal. Jusqu’au jour où, au collège, ses camarades apprennent sa maladie et où tout se complique. Entre méchanceté des ados et indifférence des adultes, Paige doit faire face.
Elle nous livre son histoire sans en rajouter, sans se victimiser, comme elle l’a vécu. Et comment elle en est sortie. C’est un très joli livre, une histoire vraie, fraîche et triste parfois, mais qui est aussi très porteuse d’espoir. J’ai passé un très bon moment avec ce roman. Effarée parfois de la réaction méchante, surtout dû à la méconnaissance, des gens, mais surtout rassurée par la générosité de beaucoup de personne.

Je remercie beaucoup Hachette romans pour cette découverte.

22/65

22/65

Bilan 2016

2016
Une nouvelle année ne pouvait pas commencer sans le bilan de l’année précédente ! Histoire que vous vous fassiez une idée et surtout que je réalise si l’année a été prolifique ou pas… D’une manière ou d’une autre, je suis souvent satisfaite de moi. Surtout que du côté professionnel et personnel ma vie a été pas mal chargée aussi. Y’a des années comme ça, et je pense que ce sont celles que je préfère.
Pas le temps de se poser. D’ailleurs puisqu’on en parle, je vais vous dire ce qui m’est arriver au niveau personnel :
• J’ai été promue : je suis passée superviseur.
• J’ai eu 40 ans (ouais, j’ai pas super aimé ça).
• J’ai déménagé.
• J’ai eu mon permis de conduire (y’a pas d’âge il paraît)

Côté lectures, grâce à mon amis goodreads, je peux vous donner ces informations :
J’ai lu 104 alors que j’espérais en lire 120, une dizaine par mois, mais j’ai commencé l’année sur les chapeaux de roues et la fatigue ne m’a pas permis de lire comme je voulais, sans parler des 40 ans que je devais fêter comme il se doit. Cela représente tout de même 36082 pages. C’est pas rien mes gens !
Le plus petit livre lus faisait 109 pages c’était Le tome 1 d‘Esther et Mandragore, un livre pour enfants, et le plus gros c’était au péril de te perdre de 603 pages. Mais je ne l’ai pas terminé celui-là. Du coup c’est pas vraiment celui-là le plus gros… Je vais devoir faire des recherches *mets sa lampe frontale*. Je l’ai trouvé ! C’était donc Promesse de Jussi Alder-Olsen une jolie découverte côté policier. Je ne connaissais pas l’auteur et je vais tenter dans lire d’autres. Mes livres faisaient une moyenne de 347 pages.

Je vous mets également en image quelques livres qui m’ont marqué :

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Niveau rencontres livresques, j’ai eu moins de temps cette année. Je suis allée au salon du livre où une agréable soirée été organisée par Hachette, où j’ai pu découvrir de jolies sorties et où bien sûr j’ai pu discuter avec quelques autres blogueuses. J’ai aussi vu Acr0 livrement et Mycoton, un peu comme tous les ans maintenant, parce que oui, la blogosphère ne reste pas que virtuelle.

 En résumé, je suis plutôt satisfaite de cette année qui été très chargée. J’espère que 2017 sera plus calme pour me permettre de faire plus de lectures, et surtout de me reposer un peu. Allez ! C’est parti pour une nouvelle année !

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Samedi 14 novembre – Vincent Villeminot

Éditeur : Sarbacane / Exprim’
Nombre de pages : 216
Date de parution : 2 novembre 2016
Prix : 15,50€ Notepaillons4.5

61txqgiklalRésumé : Vendredi, 13 novembre 2015. B. était à la terrasse d’un café, quand les terroristes ont tiré. Son frère est mort, lui s’en sort indemne.
Il quitte l’hôpital au matin, monte dans le métro. Son regard croise celui d’un passager.
Il reconnaît le visage de l’un des tueurs et décide de le suivre.

Mon avis : Je commence a beaucoup apprécier Vincent Villeminot depuis que j’ai lu U4 (Instinct m’avait beaucoup moins séduite), il fallait donc absolument que je lise celui-ci, d’autant plus qu’il aborde un sujet qui nous touche tous.

B. fait partie des victimes des attentats du 13 novembre 2015. En sortant de l’hôpital, au petit matin du 14 novembre, il croise dans le métro un des terroriste. Encore sous le choc et fatigué, il décide de le suivre.

Je m’attendais à un livre plein d’émotions, et il l’est, mais pas comme je l’imaginais. Vincent Villeminot n’a pas voulu faire dans le voyeurisme en nous exposant en long en large et en travers comment se sont déroulé les attentats, mais plutôt comment ont réagit les gens après. Pas forcément ceux qui ont été touché directement, mais ceux qui ont eu des proches dans les victimes. Mais ne ne faisant surtout pas dans le « pato ».
Il aborde surtout le sujet de « comment réagirions-nous si nous avions croisé un des terroristes supposé ». B. décide de suivre ce terroriste, il ne sait pas pourquoi au début, ne sait pas ce qu’il va faire au juste, mais il veut le faire, il ne veut pas qu’il s’en sorte et surtout il veut comprendre pourquoi. Un peu comme tout le monde.
L’auteur a décidé de nous montrer que tous, victimes comme terroristes, ont des familles, des proches, accablés par la disparition de certains ou par l’incompréhension des agissements des autres. La vie de toutes ses personnes est changée, profondément, par le chagrin, l’incompréhension ou même la honte.
C’est un sujet délicat, que Vincent Villeminot a décidé d’aborder un peu pour exorciser ce qu’il a ressenti ce samedi, un peu comme nous tous. Un très joli roman, qui peut parfois déranger mais qui est criant de vérité.

Je remercie Exprim’ pour cette lecture.

21/65

21/65

Never, Never saison 1 – Colleen Hoover & Tarryn Fisher

Éditeur : Hugo romans
Nombre de pages : 197
Date de parution : 3 novembre 2016
Prix : 13,50€ Notepaillons4.5

51aqvvyhemlRésumé : Charlie et Silas ont commencé à comprendre ce qui leur est arrivé : tous deux ont perdu la mémoire et ne se souviennent de rien. Il leur faut tout redécouvrir, mais un événement imprévu a encore compliqué les choses. Leur mémoire s’est à nouveau évanouie au bout de quelques heures, les obligeant à tout recommencer.

Mon avis : La couleur de la couverture m’a attiré (tout le monde vous dira que j’adore le mauve/violet et tous ses dérivés). Le résumé à continué de me convaincre. Le nombre de pages m’a définitivement convaincu.

Charlie « reprend conscience » en cours. Elle ne sait plus comment elle s’appelle ni comment elle est arrivée là. C’est visiblement la même chose pour Silas, son petit ami. Que leur arrive-t-il ?

Le roman commence directement sur plusieurs interrogations : qui est la narratrice, où est-elle, que fait-elle ? De suite nous somme plongés dans l’intrigue. L’empathie avec Charlie, une deux narrateurs, se fait donc immédiatement. On veut savoir autant qu’elle se qu’il en est.
Plus on tourne les pages et plus le mystère s’épaissit . On découvre avec Charlie et Silas une réponse et finalement c’est pour mieux se poser d’autres questions. Un peu comme avec des poupées russes. Du coup il est très difficile de lâcher le roman, d’autant plus qu’il ne fait même pas 200 pages et qu’on le dévore très très vite.
La fin nous dévoile une grande partie de l’intrigue. Tout plein de pièces ce mettent enfin en place. Pour ensuite découvrir qu’il reste tout un autre tas qu’on ne sait pas comment emboiter sans parler d’une nouvelle problématique qui se rajoute à tout ça !
Vous l’aurez donc compris ce livre m’a totalement plus. La saison deux est déjà publiée et déjà dans ma PAL et elle ne va pas y rester longtemps. La saison 3 sort en janvier et je lui réserve le même sort.

Je remercie Hugo Romans pour cette lecture.

20/65

20/65