Steampunk chronicles tome 2 – Dangereux secret – Kady Cross

 Éditeur : Darkiss
Nombre de page : 376
Date de parution : 1er septembre 2013
Prix : 15,50€ 4

capture2Résumé : New York, 1897— Les gangs règnent sur la ville. Quant à Finley Jayne, elle doit composer avec quelques particularités. Elle s’est découvert une force surhumaine qu’elle a bien du mal à maîtriser, et elle redoute plus que tout que son côté sombre ne l’emporte sur ses qualités. Alors, plutôt que de mettre son troublant ami Griffin en danger, elle préfère se persuader qu’elle n’est pas du tout amoureuse de lui. De toute façon, si elle est venue à New York, ce n’est pour roucouler mais pour sauver un de leurs amis, prisonnier d’un gang. Et même si son cœur bat pour Griffin, qu’est-ce qu’une fille comme elle pourrait bien attendre d’un jeune aristocrate beau et riche comme lui ?…

Mon avis : Je découvre depuis peu le Steampunk et j’avais beaucoup aimé le premier tome de Steampunk chronicles, j’étais donc très curieuse de découvrir ce second tome dont la couverture est tout aussi belle que celle du premier.

A la fin du premier tome, un des amis de la troupe de Finley, Griffin, Sam et Emily était emmené entre des chasseurs de prime vers son pays d’origine les États-Unis, pour être jugé pour meurtre. Prêt à tout pour découvrir si Jasper est coupable ou non, voici nos 4 amis partis de l’autre côté de l’atlantique pour vivre de nouvelles aventures.

J’aime beaucoup l’univers créé par Kady Cross. Ce monde de fin 19ème agrémenté d’inventions issues de la révolution industrielle. Une partie de moi est d’ailleurs curieuse de savoir à quoi ressemblerait notre monde aujourd’hui si celles-ci avaient vraiment existé. Bon, je trouve parfois ces inventions un peu faciles et rapides (fabriquées en quelques jours à peine), mon côté trop cartésien sans doute, mais c’est aussi elles qui donnent ce côté si palpitant à l’intrigue, qui permettent qu’elle prenne cette tournure et surtout que nos héros finissent toujours (ou presque) vainqueurs.
Les personnages sont aussi attachants. Avec leurs doutes et leurs défauts l’auteur les rend très humains, accessibles. Mais leur interrogations sont pour moi un peu trop pesante. J’ai bien conscience que la société de fin du 19ème siècle est différente de la notre mais je trouve que leurs questionnements intérieure ralenti pas mal l’histoire. Ce qui est dommage à mon sens parce que j’ai vraiment aimé l’intrigue, la façon dont elle est menée et où l’auteure nous emmène brouillant habilement les pistes. Elle mêle subtilement, mensonges, trahisons, échafaudages de plan, échec des dits plans, coups et blessures, rebondissements, alliances… Bref tout ce que j’aime dans un roman.

J’ai passé un extrêmement bon moment même si j’ai parfois été déçue par certaines facilités auxquelles fait appel l’auteur.

Je remercie la collection Darkiss pour cette lecture.

28/35

54/60

 


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New Victoria tome 2 – Rébellion – Lia Habel

 Éditeur : Castelmore
Nombre de page : 571
Date de parution : 12 avril 2013
Prix : 17,20€ 4

new-victoria,-tome-2---rebellion-3823142-250-400Résumé : Paranoïa et préjugés !
Bram Griswold, zombie de son état, n’a rien d’un monstre, contrairement à ce que certains Néo-Victoriens voudraient faire croire à propos des morts-vivants. Il l’a prouvé à plusieurs reprises, notamment en sauvant la jeune et charmante Nora des griffes de redoutables terroristes… et il filerait avec elle le parfait amour si seulement les règles de savoir-vivre étaient un peu moins strictes ! Mais, alors que les tensions entre vivants et zombies semblaient enfin s’apaiser, Bram s’aperçoit que le virus du Lazare a muté et que des zombies incontrôlables et sanguinaires arpentent les rues, provoquant des vagues de panique. Hasard ou complot ? Et si l’Apocalypse ne faisait que commencer ?

Mon avis : J’avais craqué sur la couverture du tome 1 et beaucoup aimé l’histoire. Quand j’ai vu la couverture du deuxième tome, tout aussi belle que la première, je me suis dis que j’avais hâte de le lire.

Après la découverte et l’acceptation des zombies par la société de New Victoria, on aurait pu penser que l’histoire aurait pu s’arrêter là. Sauf que c’était sans compter sur les préjugés et les peurs ancestrales de la population. Entre les émeutes et les attaques, il est difficile pour le couple que forme Nora et Bram de trouver sa place à New Victoria.

J’aime beaucoup l’univers de New Vitoria. Cette société américaine du futur qui reprend les valeurs de l’Angleterre victorienne tout en gardant pas mal de technologie de notre temps, voire même certaines qui n’existent pas encore. L’auteure a réussi un parfait mélange.
Le récit est plutôt complet, le livre fait 571 pages tout de même. Son autre richesse vient de son changement de narrateur. Ils sont six à se succéder nous donnant différents points de vue le l’histoire. Cela nous permet de comprendre totalement la complexité de l’intrigue alors que les personnages eux restent encore dans le flou. J’ai beaucoup aimé être mise dans le secret, de voir quelles étaient les bonnes et les fausses pistes. Cela change des enquêtes où l’on avance à tâtons, au même rythme que les héros.
D’ailleurs parlons-en des personnages, ils sont tout aussi attachants que dans le tome précédents. Nora est toujours aussi tête brulée, tout en respectant l’étiquette bien entendu, Bram reste la tête calme et pensante du groupe, Pamela est celle qui se soucie de chacun… Les méchants sont également délicieusement détestables, mais l’auteur arrivent aussi à nous donner les raisons de leurs actes, leur donnant de la profondeur.
L’histoire d’amour entre Nora et Bram est plutôt simple, mais c’est la condition de Bram qui lui donne tout son relief. On ne peut s’empêcher de se demander comment elle va se terminer.
La fin du roman nous laisse entrevoir la trame du suivant, nous distillant quelques pistes et nous donnant très envie de lire la suite. On sait clairement que les aventures de Nora et Bram ne sont pas terminées et qu’ils auront encore des épreuves à affronter.

Je remercie livraddict et Castelmore pour cette lecture.

28/35

34/35


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Steampnk chronicles – L’étrange pouvoir de Finley Jayne – Kady Cross

 Éditeur : Harlequin / Darkiss
Nombre de page : 438
Date de parution : 1er décembre 2012
Prix : 14,10€ 4

steampunk-chronicles,-tome-1---l-etrange-pouvoir-de-finley-jayne-2752942-250-400Résumé : Londres  1897,  âge  des  automates  pensants  et  du  Dr  Jekyll… Finley Jayne, 16 ans, a un sacré problème : depuis quelques mois, deux personnalités opposées cohabitent à l’intérieur d’elle ! Et son côté sombre tout à la fois l’effraie et lui joue des tours. Que lui arrive-t-il ? A qui peut-elle en parler ? Et d’où lui viennent soudain cette force et ces colères extraordinaires ? Une nuit, alors qu’elle vient d’administrer une correction à un jeune lord qui tentait d’abuser d’elle, elle fuit à toute vitesse sur son vélo et… percute de plein fouet Griffin, duc de Greythorne, qui la ramène à son manoir pour la soigner. Cette rencontre va bouleverser sa vie et la lancer dans de folles péripéties : Griffin et son petit groupe d’amis aux pouvoirs prodigieux sont en effet à la recherche du dangereux Machiniste, un inventeur mégalo assisté d’une armée d’automates, qui brigue la couronne d’Angleterre…

Mon avis : J’avais vu passer ce livre de-ci de-là il y a quelques temps sur le net et il avait retenu mon attention. Du coup, quand l’occasion s’est présenté de le lire, je n’ai pas hésité !

 Finley n’est pas une jeune fille comme les autres, elle a un côté sombre, animal, violent qui surgit dès qu’elle est en danger ou énervée. Elle a alors une force surhumaine et un sens de la répartie assez mordant. Vous me direz que c’est le cas de pas mal d’héroïne de roman que je lis. Oui, mais la différence c’est que Finley vit au début du siècle et que ce n’est pas très bien vu pour les jeunes filles comme il faut. Elle a alors du mal à garder un emploi et ce n’est pas pour aider cette jeune fille d’un milieu modeste. Jusqu’au jour où elle rencontre des jeunes gens comme elle et que sa vie prend un nouveau tournant…

Je me suis plongée avec délice dans ce livre. J’avais envie d’époque victorienne, de temps décalée et de langage châtié. Rien de mieux alors que de lire du Steampunk. Je trouve que les auteurs de ce genre ont une imagination qui me plait, peut-être parce que je connais peu ce genre ? Ils allient ancien et moderne, créant des inventions pour l’époque vraiment ingénieuses qui permettent aux héros de mener l’enquête de manière scientifique et rapide. Bien sûr, certaines choses paraissent improbables, un peu tirées par les cheveux, mais c’est ce qui fait tout le charme de la lecture. Ces côtés désuet et moderne qui se marient si bien. Ce roman ne fait donc pas exception au genre et je l’ai dévoré rapidement.
J’ai beaucoup aimé Finley, le premier personnage avec lequel on prend contact. Elle a un caractére tout en nuance, du fait de sa double personnalité certes, mais pas seulement. L’auteure a réussi à lui donner de la profondeur et on s’attache facilement à elle. Pour moi elle a eu des réactions cohérente dû aux conditions d’une femme de son époque.
La particularité de ce livre c’est que nous changeons souvent de narrateur, nous donnant ainsi la possibilité de connaître en profondeur les différents personnages. Finley intègre un groupe de trois jeunes gens différents et complémentaires, ce qui leur permet de mener des enquêtes.
J’ai également apprécié la mythologie de l’auteure, ce qu’elle a réussi à créer et sa façon de présenter son univers.
En ce qui concerne l’enquête, elle était bien menée, mais j’avais trouvé dès le milieu du livre un des rebondissement capital. Je lis surement trop de policier.
La fin laisse supposer que le second tome devrait être tout aussi intéressant, si ce n’est plus. J’ai donc hâte de retrouver Finley et sa bande.

Je remercie les éditions Harlequin et la collection Darkiss pour cette lecture.

28/35

29/35

 
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New Victoria tome 1 – Habel Lia

 Éditeur : Castelmore
Nombre de page : 576
Date de parution : 17 août 2012
Prix : 17,20€

Résumé : Nora Dearly, jeune fille de la haute société de New Victoria, est plus intéressée par l’histoire militaire de son pays que par les bals et les jolies robes. Elle n’imaginait pas que la mort de son père, le docteur Dearly, la projetterait au cœur des conflits qui menacent les frontières du pays… Kidnappée par une faction rebelle, Nora doit combattre ses préjugés pour comprendre leurs motivations. Bram Griswold, un jeune soldat courageux et séduisant, entend bien lui ouvrir les yeux sur la véritable menace qui pèse sur les vivants… comme sur les morts.

Mon avis : Je connais un peu le steampunk depuis que j’ai lu Le protectora de l’ombrelle et Les enquêtes extraordinaires de Newburry et Hobbes, ce qui est assez peu je vous l’accorde vu le nombre de bouquins que doit comporter le genre, mais j’y viens doucement.

Le monde a été dévasté, et les survivants se sont reconstruits suivant le modèle victorien agrémenté de la technologie qu’ils ont su préserver et développer. C’est dans cette société que vie Nora, une adolescente de 17 ans faisant partie de la bourgeoisie. Ses parents sont décédés et elle est élevée par sa tante paternelle. Elle est toujours très affectée par la mort de son père survenue l’année précédente. Sa vie, déjà très bancale, bascule lorsque qu’elle est victime une nuit d’une tentative d’enlèvement perpétrée par des zombies. C’est dans le camp de zombies dans lequel elle atterri qu’elle apprend à voir le monde différemment et que toutes ses certitudes volent en éclats.

J’ai de suite été attirée par cette couverture au rose pastel. Une de mes couleurs favorites. Couleur de fond tranchant avec la fille habillée de noir et l’ombrelle style victorien qui l’accompagne. Ajoutez à ça le décor de cimetière en arrière-plan pour rappeler les zombies et vous êtes totalement en adéquation avec le thème du livre.
Le décor est planté progressivement, on découvre à travers les yeux de Nora l’univers dans lequel elle évolue. On a l’impression d’être avec elle, dans le fiacre à découvrir la ville par ses fenêtres. Ça donnerait presque envie d’y vivre.
Le livre alterne avec plusieurs narrateurs, qui changent à chaque chapitre, 5 ou 6 au moins et ça a parfois de quoi déstabiliser quand on enchaine les chapitres. Surtout lorsque Nora prend la suite de Bram, difficile parfois de repérer dans les dialogues.
Les personnages sont aussi très attachants. J’ai adoré Nora, même si j’ai parfois trouvé son évolution trop rapide, elle passe de jeune fille de bonne famille, dite rebelle, mais j’ai trouvé très « rentrée dans le moule », du début, à une mercenaire attaquant au côté des zombies. Bien sûr cette évolution est crédible, mais un chouia rapide. Ce qui ne m’empêche pas d’adorer ce genre de personnage féminin qui n’a peur de rien et qui réagit toujours rapidement face à l’adversité. J’ai aussi succombé au charme de Bram, bon ok, son corps est légèrement décomposé, et risque de continuer sur cette voie. Certains auteurs savaient rendre des vampires séduisants, voici venu le tour des zombies !! Et je plussoie !! Qu’ils continuent.
Les autres personnages sont aussi très crédibles, très complets. Nous voyons l’intrigue à travers les yeux de chacun, ce qui nous donne une vue 360° de ce qu’il se passe. Passer les premiers chapitres d’adaptation, cela permet de vraiment bien cerner l’histoire.
L’intrigue est elle aussi bien menée, je m’y connais peu en zombie, mais l’auteure réussi à nous expliquer leur fonctionnement sans alourdir le récit d’explications confuses ou trop opaques. Les histoires politiques sont aussi simple et on comprend très vite où vont les intérêts de chacun et pourquoi. Il est alors très facile de choisir son camp. Les méchants sont nuancés, mais ce n’est pas pour autant qu’on n’aime pas les détester.

Vous l’aurez compris (Marie si tu passes par là, ce début de phrase est pour toi), j’ai adoré ce livre ! Quand je l’ai eu en main et que j’en ai vu le nombre de pages, j’avais peur d’avoir du mal à en venir à bout, mais les pages ont défilé sans que je m’en aperçoive.

Le petit plus : Le livre a aussi été édité chez Bragelonne avec une couverture différente afin de toucher un plus large public.

Je remercie livraddict et les éditions Castelmore pour cette lecture.


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Les enquêtes extraordinaires des Newburry et Hobbes tome 1 – Les revenants de Withechapel – Georges Mann

Éditeur : Eclipse
Nombre de pages : 341
Prix : 18,00€

Résumé : Bienvenue dans un Londres étrange et merveilleux, une métropole en plein bouleversement. Ses habitants, quotidiennement éblouis par un déluge d’inventions, inaugurent une ère technologique nouvelle. Les aéronefs traversent le ciel de la ville tandis que des trains de surface parcourent ses rues et que des automates mettent leurs engrenages au service d’avocats ou de policiers. Mais le
vernis brillant du progrès dissimule une face sombre, car cet univers voit aussi des policiers fantômes hanter les ruelles de Whitechapel. Sir Maurice Newbury, Investigateur de la Couronne, oeuvre donc sans répit à protéger l’Empire de ses ennemis. Le jour où un dirigeable s’écrase dans des circonstances suspectes, sir Newbury et miss Veronica Hobbes, sa jeune assistante, sont appelés à enquêter tandis qu’une série d’effroyables meurtres met en échec les efforts de Scotland Yard, et qu’un épouvantable fléau ravage les quartiers pauvres. Ainsi débute, en une aventure qui ne ressemble à aucune autre, le premier volume des Enquêtes Extraordinaires de Newbury & Hobbes.

Mon avis : Me voilà replongée dans le steampunk, ce genre bien particulier dont on trouve cette définition sur wikipedia « L’expression steampunk, qui signifie littéralement punk à vapeur, souvent traduite par futur à vapeur, est un terme inventé pour qualifier un genre de la littérature de science-fiction né à la fin du XXe siècle, dont l’action se déroule dans l’atmosphère de la société industrielle du XIXe siècle. Le terme fait référence à l’utilisation massive des machines à vapeur au début de la révolution industrielle puis à l’époque victorienne. Mais le style steampunk quitta rapidement la seule sphère de la littérature pour s’étendre à d’autres domaines de création et d’expression et devenir un fandom autonome. »

J’avais bien accroché avec « Sans âme » de Gail Cailliger (mon avis ICI) et mon 1er contact avec ce genre était donc très positif, j’ai donc lu avec le même plaisir Les revenants de Withechapel. On retrouve dans ce livre ce je ne sais quoi de désuet qui fait tout son charme.

Sir Newburry est un universitaire qui effectue des recherches sur les coutumes des druides celtes, pour cela il a une assistante, Miss Hobbes qui l’aide dans ces tâches courantes. Mais Sir Newberry n’est pas seulement un universitaire, il est aussi un référent de la couronne en matière de science occultes et aide à résoudre des enquêtes. D’ailleurs actuellement il aide à la résolution de meurtres suspects dans les bas quartiers de Londres quand il est appelé par la reine, toutes affaires cessantes pour enquêter sur le crash d’un dirigeable. Avec son assistante il s’emploie alors à comprendre comment cet accident a pu arriver, allant de surprises en découvertes, allant même jusqu’à risquer sa vie.

Je me suis rapidement laissée happer par ce livre sans aucun temps mort, le temps d’introduire les personnage et l’action démarre très vite, les enquêtes à résoudre ainsi que les pistes possibles sont vite présentées. Mais ce n’est pas pour autant que l’auteur cède à la facilité, loin de là ! Bien malin celui qui saura annoncer le dénouement de ces enquêtes avant la toute dernière partie du livre.
Les personnages sont bien campés, bien décrits, avec ce qu’il faut de dévoiler sur leur passé, leur histoire, leur caractères pour que nous puissions nous attacher à eux. Chacun d’eux est complexe et abouti, l’auteur créant des protagonistes crédibles.
Quand au ton du livre, délicieusement retro, j’ai tout simplement adoré. Ces manières, ces codes en société maintenant oubliés permettent de réellement s’évader et de décrocher du monde actuel, sans pour autant que l’ambiance soit étouffante ou mette mal à l’aise. Les traits d’humour et autre jeu de mot permettent vraiment à ce livre d’être léger.

Bref, je ne dirais qu’une chose ! Lisez-le !


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