Stepbrother – Penelope Ward

Éditeur : Hugo romans / New romance
Nombre de pages : 313
Date de parution :  4 mai 2016
Prix :  17,00€ Notepaillons3

stepbrother-dearest-764871-250-400Résumé : Quand Greta a appris que son demi-frère venait vivre avec eux, elle était à la fois curieuse et heureuse de faire la connaissance du fils de son beau-père. Malheureusement, elle a vite déchanté. Elec est tout simplement odieux avec elle.
Pourtant, elle se sent attirée par ce garçon tatoué qui semble tout faire pour cacher ses blessures.
Lentement, leur relation évolue, il s’ouvre petit à petit jusqu’à une nuit inoubliable. Le lendemain, Elec est parti, il disparaît de sa vie aussi vite qu’il y était apparu.
Sept ans plus tard, un drame familial les réunit à nouveau. Greta comprend alors que l’adolescent qui s’amusait à la faire tourner en bourrique est devenu un homme très séduisant qui va lui faire tourner la tête.
Sauront-ils à nouveau se faire confiance ?

Mon avis : Les livres Hugo romans ont souvent ma préférence. Le résumé de Stepbrother m’a séduite et il ne m’en a pas fallu beaucoup pour me convaincre de le lire.

Quand le demi frère de Greta vient vivre avec eux, elle se dit qu’elle va découvrir la joie d’avoir un frère, elle qui est fille unique. Mais les choses ne se passent pas comme prévu. Au début ils ne s’entendent pas, et la fin n’a rien à voir avec ce qu’elle avait imaginé.

Dès le début je me suis « glissée » dans l’histoire sans effort. Le style d’écriture est simple et frais, les pages défilent rapidement. De plus, il est facile de s’attacher à Greta. Elle est remplie de bons sentiments. Elle veut toujours bien faire et n’est pas le moins du monde rancunière. Elle pourrait en paraître naïve, et elle l’est un peu également, mais elle est surtout pleine de fraîcheur. Elle donne envie de croire en de meilleurs sentiments, en de meilleurs personnes. Finalement heureusement que des personnages comme elle existe. Elle a tout de même de la répartie et c’est ce subtile mélange qui fait qu’on l’apprécie autant.
Elec (oui moi aussi, j’ai trouvé le prénom bizarre) est beaucoup plus sombre et plus difficile à cerner. C’est ce qui fait tout son charme. Ne pas savoir ce qu’il pense nous rend chèvre autant que Greta mais c’est ce qui fait l’intérêt de l’histoire.
L’histoire, justement puisqu’on en parle, n’est pas révolutionnaire. On a déjà lu des histoires de demis frère et sœur qui ne savent pas quoi faire de leur sentiments, comment les vivres, les avouer… Rien de bien nouveau. Mais l’auteure a quand même réussi à retenir mon attention et à vibrer avec Greta et les secrets qu’elle découvre.
Une agréable lecture avec une petite odeur d’été.

Je remercie Hugo romans pour cette lecture.

Une petite bafouille ?

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