♦ Éditeur : Hachette
♦ Nombre de pages : 475
♦ Date de parution : 9 janvier 2019
♦ Prix : 18,00€
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Résumé : À la suite d’un événement traumatisant, Raine a perdu l’usage de sa voix. Trois ans plus tard, elle est toujours murée dans son silence et communique grâce à ses mains. Entourée par son frère et ses meilleurs amis, Raine s’est habituée à ce mode de vie. Elle en a fait son refuge. Jusqu’à ce qu’un nouvel élève débarque au lycée et vienne fissurer, à coup de sourire, les remparts qu’elle avait soigneusement érigés autour d’elle. Lui est une célébrité locale : tout juste sorti d’une prison pour mineurs, West Love intrigue autant qu’il inquiète. Il est beau, audacieux et, pour une raison qui échappe complètement à Raine, déterminé à se rapprocher d’elle ! Il la taquine en permanence, la drague ouvertement et va jusqu’à lui demander de lui enseigner la langue des signes ! Ce que Raine ne sait pas, c’est que West est prêt à tout pour la sortir de son silence.
Mon avis : Le résumé du roman avait l’air plein de promesse et il n’en fallait pas plus pour que je le lise sur mon week-end !
Raine est muette depuis un incident survenu lors d’une fête. Depuis, elle et ses amis ont appris le langage des signes. Elle mène une vie normale jusqu’à l’arrivé du nouveau à la réputation fulgurante dans son lycée.
Dès le début j’ai apprécié Rain. Elle est une jeune fille, certes fragile, mais pleine de ressources et qui fait tout de même face à ses peurs. Elle a une jolie bande qui la soutient et j’ai beaucoup aimé leur complicité.
L’histoire par elle-même n’était pas très originale, mais elle laisser promettre quelques émotions. Sauf que non… Ou alors sur le début du roman un peu. Pour une fois l’auteure ne faisait pas trop nier ses sentiments à son héroïne et le bad boy met vite les choses aux clairs entre les rumeurs et la vérité. Mais après j’ai trouvé trop d’incohérence et de raccourcis qui m’ont gâché mon plaisir. La 2ème partie traine en longueur et la fin est vraiment trop téléphonée. J’aime les histoires qui se terminent bien, mais là… Le monde des bisounours c’est un peu trop pour moi. Alors qu’au départ j’aimais beaucoup Raine et West, leur façon d’être, leur répartie (beaucoup de leurs échanges m’ont fait rire) j’ai eu envie de les secouer et bien des fois j’ai lever les yeux au ciel. C’est dommage parce que ce livre était vraiment prometteur, mais trop de choses ne sont pas assez approfondies et d’autres sont, au contraire, trop exploitées alors qu’elles n’apportent rien à l’histoire.
Bref, un sentiment plutôt mitigé…
Je remercie Hachette pour cette lecture.

16/65
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