Si c’est la fin du monde – Tommy Wallach

Éditeur : Nathan
Nombre de pages : 251
Date de parution :  7 janvier 2016
Prix :  17,90€Notepaillons4

8702873-13742784Résumé : Alors que la fin de la terminale approche pour Peter, Anita, Andy et Eliza, une météorite apparait dans le ciel : elle a deux chances sur trois de percuter et faire exploser la Terre deux mois plus tard. Tout à coup, l’avenir n’a plus la même importance… L’anarchie s’installe peu à peu : violence et pillages se multiplient, beaucoup arrêtent de travailler, la nourriture commence à manquer. Les quatre adolescents doivent décider maintenant ce qu’ils feront du reste de leur vie, et peut-être, paradoxalement, en profiter pour être enfin libres et heureux, même pour peu de temps…

Mon avis : Tiens une apocalypse sans zombie… Pourquoi pas ? Ça changera un peu.

Une météorite va percuter la terre. Anita, Eliza, Peter et Andy se retrouvent à faire le bilan et à affronter les derniers jours de leur vie.

Je ressors mitigée de cette lecture. Je ne m’attendais pas du tout à ça en le commençant, en même temps je n’ai jamais été confrontée à la fin du monde (et j’espère que ça durera longtemps) et je ne me suis donc jamais posée la question de savoir comment cela se passerait.
Voir la fin du monde à travers le regard de 4 jeunes de 18 ans a quelque chose de particulier. Ces jeunes ont toute la vie devant eux et cette chance leur est fauchée sans aucun préavis. Du jour au lendemain leur futur n’existe plus et le monde dans lequel ils ont toujours vécu se retrouve chamboulé. Mais ils ont tous un point communs ils se sont fixés un but à atteindre avant l’échéance fatidique. Chacun a sa quête mais finalement celles-ci vont les faire se croiser. Comme s’ils étaient intimement liés. C’est ce qui m’a plu dans ce roman. Ces 4 jeunes qui expérimentent ce qu’ils leur reste de futur.
Ce qui me laisse au contraire plus dubitative, c’est la façon dont le monde évolue après cette nouvelle. Cette différence qui se creuse en Seattle, où se déroule notre histoire, et le reste des États-Unis. Bien sûr j’imagine que chaque ville a population propre et donc ça manière de gérer la nouvelle, mais j’ai trouvé ce décalage peu plausible. Mais comme je vous le disais en début, je me suis peu penchée sur la question dernièrement.
Ce livre nous pousse à nous interroger sur ce que nous ferions dans une même situation et je pense que c’est ce que voulait l’auteure. Quand on est au pied du mur, on a chacun notre façon de faire face.

Je remercie Nathan pour cette lecture.

22/80

22/80

7 réflexions sur “Si c’est la fin du monde – Tommy Wallach

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