♦ Éditeur : Nathan
♦ Nombre de pages : 282
♦ Date de parution : 12 juin 2014
♦ Prix : 14,90€

Résumé : Honey, 15 ans, est l’aînée des sœurs Tanberry. Elle accepte mal le divorce de ses parents et ne supporte pas le nouveau compagnon de sa mère. Elle décide de rejoindre son père en Australie. Lui aussi a une nouvelle vie. Le lycée que fréquente Honey est strict et des photos compromettantes apparaissent sur sa page personnelle du réseau social Spiderweb.

Mon avis : Ce tome clôture l’épopée de ses 5 sœurs issue d’une famille recomposée. Même si je n’ai pas lu le 1er tome, il me tardait de découvrir la fin de cette saga.

Ce dernier tome nous présente la vie de Honey la plus grande la famille. La plus dure et la plus difficile aussi. Celle qu’on a tendance à ne pas aimer, mais qu’on a vraiment envie de découvrir, car on sent que sa méchanceté cache quelque chose.

J’ai beaucoup aimé suivre Honey. Je pense qu’au final cette ado de 15 ans est mon personnage préféré. Je la trouve attachante. J’aime les gens qui ont des blessures et qui essayent de les cacher derrière des caractères bourrus. Honey est comme ça, cynique, acide et égoïste, mais on devine qu’elle cache autre chose. Ce tome est l’occasion de le découvrir, et je ne m’étais pas trompée.
On découvre aussi le père, absent depuis le début de la série, et là aussi on n’est pas déçu du personnage. On apprend aussi pas mal de chose sur l’histoire de la famille en général. Et on comprend pas mal de choses, ma curiosité à été assouvie.
Ce livre reste dans la lignée des précédents, même s’il est un peu plus mature, puisque Honey est la plus âgée des filles. Il est tout aussi léger à lire que les précédents, permettant de passer un excellent moment.
C’est le dernier de la série, mais j’aimerai qu’elle continue. On découvre de nouveaux personnages dans ce tome que j’aimerai découvrir un peu plus. Peut-être qu’il y aura un tome 5.5 comme il y a eu un 3.5, en tout cas, je ne dirai pas non moi.
En bref, c’est une excellente série jeunesse, mais pas que. Les adultes ayant gardés un cœur d’enfant, peuvent s’y plongé également avec délice.

Je remercie les éditions Nathan pour cette lecture.

76/80