Maboul kitchen – Nadine Monfils

Éditeur : Belfond
Nombre de pages : 233
Date de parution : 26 février 2015
Prix : 19,00€ Notepaillons5

51XJwqy+EILRésumé : Avec l’aide de quelques zinzins triés sur le volet, Mémé s’envole vers son rêve : ouvrir un palace à Saint-Amand-sur-Fion. Après avoir épousé le proprio, un vieux solitaire rencontré à l’asile, elle passe son voyage de noces à Etretat pour le charme de ses falaises. Une fois veuve et héritière, à la tête du domaine avec une équipe de pétés du bulbe et un cuisinier maboul, la vieille monte une arnaque pour financer les travaux de la baraque en ruine. Sa stratégie pour plumer les gens ? Une vierge qui s’illumine et attire la foule criant au miracle. Lourdes peut aller se rhabiller. Le miracle qu’elle vise, elle, c’est de rassembler assez de fric pour se payer un relooking à faire pâlir Pamela Anderson. Son but, inexorable : reconquérir Jean-Claude Van Damme. Mais ça pourrait bien virer au boxon et à l’Auberge Rouge…

Mon avis :  Je suis devenue une fan de Nadine Monfils un peu par hasard, mais depuis que je suis tombée sur un de ses livres je n’ai pas arrêté de les enchaîner, et ceux que je n’ai pas lu sont en bonne place sur ma wishlist. Alors dès que celui-ci est sorti, je l’ai vite dévoré.

Dans cet opus Mémé Cornemuse a décidé d’ouvrir un hotel- restaurant mais le tout assaisonné à sa sauce ! Ce qui veut dire que ce n’est pas de l’avis de tout le monde et un peu un marge de ce qu’on a l’habitude de connaître.
J’ai lu ce livre sur un après midi. La lecture est très rapide les courts chapitres et les péripéties s’enchaînent et on ne voit pas défiler les pages. Je pense que le livre est à l’image de l’héroïne mémé cornemuse qui ne s’embarrasse avec rien et surtout pas avec la mauvaise conscience (si tant est qu’elle en ait une, de conscience), il vif et tranche rapidement. Pas le temps de réfléchir aux conséquences que l’action est déjà faite (pour ne pas dire la connerie).
Fidèle a elle-même mémé cornemuse n’en fait qu’à sa tête et ne laisse personne se mettre sur sa route. Elle ne fait pas dans la demie mesure et dans son monde tout doit se passer comme elle le désir. De toute façon elle n’a même pas conscience des autres mondes qui l’entourent, des autres tout court d’ailleurs.
J’ai encore une fois passé un bon moment avec les frasques de mémé cornemuse. Ce personnage est une caricature de la femme égoïste et méchante et surtout idiote sur les bords et qui retombe toujours sur ses pieds malgré ça. Mais on aime la détester, elle représente tout ce qu’il y a de plus mauvais chez chacun d’entre nous. Et c’est plus facile de la détester elle et tous ses travers plutôt que de se remettre profondément en question. Elle est là pour nous faire passer un bon moment et sert en quelque sorte d’exutoire.
En tout cas je la retrouve à chaque fois avec plaisir et j’attends avec impatience le prochain livre.

Je remercie les éditions Belfond pour cette lecture.

 

Mémé goes to Hollywood – Nadine Monfils

 Éditeur : Belfond
Nombre de pages : 228
Date de parution : 20 février 2014
Prix : 19,00€ Notepaillons4.5

9782714456557Résumé : Attention, Mémé Cornemuse est de retour ! Au programme : un road movie en baraque à frites puis en cargo, des préparations culinaires fantaisistes, voire mortelles… et, au bout du tunnel, une rencontre avec Jean-Claude Van Damme himself. Enfin, peut-être. Mémé Cornemuse a décidé d’aller rencontrer son Dieu : Jean-Claude Van Damme. Comme il tourne à Hollywood, il faut qu’elle trouve du pognon sans bosser. Elle s’inscrit donc à l’émission de Jacques Pradouille, Adoptez-moi. Objectif : arnaquer la famille d’accueil, des bourgeois qui rêvent d’une mamy confitures pour leurs mouflets. En deux temps, trois mouvements, Mémé se casse avec leurs économies et une camionnette aménagée en baraque à frites, direction le port du Havre, où elle se fait embaucher comme cuisinière sur un cargo. Mais ses talents culinaires déciment les marins, et les survivants préfèrent la débarquer sur une plage de la mer du Nord, où elle apprend avec indignation le kidnapping de JCVD. Les ravisseurs n’ont qu’à bien se tenir, Mémé a la pantoufle tueuse, ça va saigner !

Mon avis : Pour ceux et celles qui me suivent régulièrement vous savez que je suis fan de Nadine Monfils, que j’ai découverte par hasard (là je dois un grand merci aux éditions Belfond) et c’est en tapant dans les mains comme une gosse que j’ai réceptionné et commencé ce livre quasiment dans la foulée.

Dans ce roman, nous retrouvons Mémé Cornemuse qui s’est mise en tête d’aller à Hollywood retrouver JCVD (Jean-Claude Van Damme pour les non initiés) pour l’épouser. Et quand Mémé Cornemuse a une idée en tête, elle l’a pas ailleurs comme qui dirait (bon, en vrai je pense autre chose, mais en ch’ti vous comprendriez pas). Là voilà partie, gare à qui voudrait se mettre sur son chemin, et dommage pour celui qui s’y trouve par hasard.

J’adore l’humour de Nadine Monfils qui n’y va jamais avec le dos de la cuillère. Elle appelle un chat un chat et une bite une bite (attention, pour cette avis, je me la joue Nadine, donc moi aussi j’appellerai les choses par leur nom en espérant ne pas vous choquer). Et encore une fois j’ai passé un excellent moment à suivre les aventures loufoques de Mémé Cornemuse. Encore une fois, c’est rocambolesque, tiré par les cheveux, exagéré dans un sens comme dans l’autre : on a autant des personnages sadiques que des naïfs, plein de gros mots, de références belges… et on se régale ! Enfin moi c’est sûr, je me suis régalée !
Comme à chaque fois à la lecture d’un livre de Nadine Monfils, j’ai un léger sourire qui ne me quitte pas quand je ne ris pas franchement. Je déconnecte totalement du réel et le laisse emporter par les aventures des personnages dans ce lieux imaginaire qu’est Pandore (d’ailleurs je n’arrive pas à définir si c’est en France ou en Belgique) et sur les plages de Belgique. Dans ce livre, pas de réelle enquête policière, comme j’ai pu en livre dans les tomes du Commissaire Léon ou dans les vacances d’un sérial Killer, ou encore la vieille qui voulait tuer le bon dieu, mais bien une aventure sans queue ni tête à la totale mode Mémé Cornemuse ! Un vrai délice dans le genre burlesque. Le petit hic c’est que c’est parfois « trop ». Bon c’est la marque de fabrique du personnage le trop mais c’est parfois un peu fatiguant…
Quoiqu’il en soit, je guetterai avec impatience le prochain titre de l’auteure.

Le petit plus : Le même jour est sorti en poche « La vieille qui voulait tuer le bon dieu » du même auteur avec le même personnage haut en couleurs, Mémé Cornemuse, pour les fans du 5ème voire du 6ème degrés.


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La vieille qui voulait tuer le bon dieu – Nadine Monfils

Éditeur : Belfond
Nombre de page : 246
Date de parution : 7 mars 2013
Prix : 19,00€  5

9782714454515Résumé : Mémé Cornemuse, fan d’Annie Cordy et de Jean-Claude Van Damme, est une vieille bique, entre Ma Dalton et Carmen Cru, à la sauce belge. Elle a trouvé un emploi de concierge dans un immeuble foutraque… où son arrivée va déclencher des horreurs rocambolesques.

Ce soir-là, Ginette, une des locataires, gaga de Lady Di, s’envoie en l’air dans un parking et trompe son mari pour la première fois. L’extase est de courte durée ! De retour chez elle, elle découvre le cocu en kit dans son plumard. Ses mains ont été coupées et son zizi est rangé au frigidaire. Panique à bord ! Ginette va mener son enquête tandis que mémé Cornemuse prépare un casse dans la bijouterie d’à côté, avec un ancien braqueur qu’elle héberge dans la cave. Elle fait les repérages et lui, il creuse… Un événement imprévu – l’arrivée d’une criminelle hébergée au couvent d’en face – va bouleverser leurs plans…

Mon avis : Je suis devenue fan de Nadine Monfils par erreur et je ne le regrette pas, je me délecte de chacun de ses romans jusqu’à présent, et le dernier sorti en date ne fait pas exception !

L’action se déroule à Pandora, ville inventée qui pourrait se trouver dans n’importe quel pays d’Europe. Dans un immeuble où Mémé Cornemuse, personnage haut en couleurs (et c’est peu de le dire) a élu domicile en tant que concierge. Et bien entendu, là où elle passe, les autres trépassent !

Ce livre est pour moi un pur moment de plaisir ! Je ricane toute seule à chaque chapitre et à chaque fois je passe un moment semblable à une fraiche parenthèse.
Dans les livres de Nadine, les méchants sont méchamment drôles, on en arrive même à oublier l’horreur des crimes qu’ils commettent. Certains ont lieu par accident, et le problème des corps à cacher est résolu en trois coup de cuillère à pot, de façon abracadabrante, vraiment pas crédible, mais tellement drôle que tout passe ! L’enquête policier me paraît toujours comme étant le pretexte de dépeindre toute une galerie d’intervenant.
Les personnages de Nadine sont toujours de véritables caricatures noircissant les pires traits de caractères de toute une population de « petite gens ». Ceux qui font la base d’une société, les ouvriers, les employés et autres… N’y voyez aucun jugement de sa part (ou de le mienne) non, elle décrit juste avec beaucoup de tendresse et d’humour une population qu’elle affectionne tout particulièrement. Elle ne leur fait pas de cadeau, mettant l’accent sur chaque petit défaut, mais on sent également qu’elle les aime par la tendresse qu’elle met à décrire leur quotidien.
J’aime aussi tout particulièrement ses références à sa Belgique natale qui me rappelle beaucoup le Nord d’où je suis originaire, tant par les coutumes que par le patois local.

Ces livres sont toujours un mélange subtile (même s’il est difficile d’utiliser ce mot pour les personnes qui auront lu le livre parce que Nadine et ses personnages sont tout sauf subtiles) d’enquête policière, de caricatures sociales et d’humour salaces. Un cocktail qui me séduit totalement ! Vivement le prochain !


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Les enquêtes du commissaire Léon #5 et #6, Clair de lune à Montmartre ; Le fantome de Fellini – Nadine Monfils

Éditeur : Belfond
Nombre de page : 445
Date de parution : 14 février 2013
Prix : 19,00€ 5

41C2VwEi6XL._SL500_Résumé : Ce deuxième volume de la série du Commissaire Léon comprend les titres : Clair de lune à Montmartre et Le Fantôme de Fellini. Clair de lune à Montmartre Entre deux mailles de tricot, le commissaire Léon enquête sur de curieux meurtres, dans la maison de retraite Le Clair de lune, à Montmartre. Mais les p’tits vieux ont la peau dure et la langue trempée dans le vitriol ! Sur un air de Carmen Cru assaisonné aux vacheries, un grand moment d’humour noir bien piquant. Le fantôme de Fellini Jeannot, le patron du Colibri, un croustillant bistrot montmartrois, a gagné un voyage en groupe à Rome. Lui et sa belle bande de zouaves vont s’en donner à cœur joie : Rose, ancienne pute, ramènera des scouts tous les soirs, pendant qu’Irma, le travelo ménagère, fantasmera sur un beau gladiateur et que le Pin’s, un nain camelot, se fera enfermer dans le musée de cire avec Blanche Neige… Pendant ce temps, le commissaire Léon va trouver des cadavres décapités et tomber amoureux du fantôme de Gelsomina. Rome comme vous ne l’avez jamais vue !

Mon avis : J’ai découvert l’inspecteur Léon et son petit monde avec la petite fêlées aux allumettes et depuis je suis fan et des livres et de l’auteure !

Ce nouveau livre, reprend deux tomes des enquêtes du commissaire Léon. L’une se déroule dans une maison de retraite où s’enchainent les morts de petits vieux, et la seconde se passe à Rome où les têtes coupées sont retrouvées à foison ! (mon ton est cynique et décalé, c’est pour être en accord avec celui de l’auteur).

Je me suis plongée avec délice dans ces histoires. J’adore le commissaire Léon, pseudo pantouflard aux manières d’enquêter très spéciales. Il est totalement en dehors du moule, trimballant son chien partout à avec lui, au risque de compromettre une scène de crime. De toute façon ce qui compte pour l’auteur ce n’est pas de nous montrer la minutie d’une enquête policière, les avancées scientifiques, non, c’est le côté humain de chaque protagoniste qui est mis en avant. On y voit les travers de chacun, que ce soit du côté des gentils ou du côté des méchants. Elle préfère nous montrer que derrière chaque crime, il y a une personne avec un vécue et une raison de commettre ces forfaits, qu’elle soit légitime ou non, logique ou sortie d’une folie toute personnelle.
Je me délecte aussi du monde dans lequel évolue le commissaire Léon, tous ses amis du bistro de Jeannot sont un pur délice ! Chacun est une caricature de la faune de Montmartre, des patrons de bistrots, aux travelos en passant par les responsables de petits commerces. Je passe toujours un très bon moment avec tout ce petit monde, souriant régulièrement parfois même je ris franchement, ce qui peut être légèrement embêtant quand je lis au boulot, lors de ma pause, ou dans un lieu public.
Le commissaire Léon est d’origine belge, il vit avec sa maman et l’auteure (belge elle aussi, les chats ne font pas des chiens) nous distille allègrement des expressions et coutumes belges. Le mélange de vie Montmartoise et de spécialités belges et un véritable délice.
L’enquête passe souvent en second plan, mais je pense que de toute façon elle n’est qu’un prétexte pour nous dépeindre tout ce petit monde. Elle n’est pas vu en détail et l’auteure prend parfois des raccourcits, mais cela n’est pas le plus important. On a des crimes, des suspects, une enquêtes, un mobile et un coupable… tout les ingrédients d’une enquête ! Le tout saupoudré de loufoqueries.
Je passe toujours un bon moment avec les romans de Nadine Monfils et celui-ci n’a pas dérogé à la règle. J’attends la suite avec impatience.

Petit extrait, condencé du talent de l’auteure :

« – Hé Mimi ! hurla Gégé par la porte ouverte.- Quoi ? Qu’est-ce t’as encore ? gueula-t-elle depuis sa laverie.
– Viens là, j’ai un truc important à te dire !
– Oui, bein moi, j’travaille !
– C’est important, que j’te dis ! Hé commissaire, comment qu’il est mort le cousin ?
– Heu… Je ne sais pas si jefais bien de vous donner ces détails, c’est très dur ! Mais de toute façon vous le lirez dans le journal. Il… Il a été décapité !
– Sans blague ?
Mimi arriva en poussant des soupirs de charrette à bras.
– J’espère que tu m’as pas encore fait déplacer pour des conneries !
– Ton cousin Ouin-Ouin…
– Quoi ? Il a retrouvé ses roues ?
– Non, il a perdu la tête ! Même qu’il en est mort !
– Hein ? T’as bu ?
– Non, j’te jure ! fit-il en crachant par terre. J’ai bu que de la bière. Hein, commissaire qu’il est raide mort tué ?
– Oui, ça s’est passé cette nuit. »

Le petit plus : L’auteure a reçue en 2012, pour l’ensemble de son œuvre, le prix spécial du salon international du livre de poche de Saint-Maur, décerné par Gérard Collard (libraire de La Griffe Noire)

Je remercie les éditions Belfond pour cette lecture.


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Les enquêtes du commissaire Léon tome 3 et 4 – Il neige en enfer ; Le silence des canaux – Nadine Monfils.

 Éditeur : Belfond
Nombre de page : 496
Date de parution : 8 novembre 2012
Prix :  19,00€

Résumé : Drôle de flic que le commissaire Léon ! Belge, il vit à Montmartre avec maman, a son QG au bistrot du coin, et depuis qu’il a arrêté de fumer il tricote des paletots ringards pour son chien Babelutte… Mais il mène ses enquêtes tambour battant, entouré de personnages hauts en couleur. Au menu, des aventures loufoques et grinçantes, pimentées d’humour noir. Pas étonnant que Frédéric Dard ait parrainé la série lors de sa première parution…

Dans Il neige en enfer, un richissime industriel meurt dans un accident de voiture, laissant derrière lui une famille de fêlés. Sa femme passe ses nerfs à coudre des paillettes partout, le pépé en fauteuil roulant ne pense qu’à se taper la bonne, et Mômo, le fils un peu zinzin, promène son lapin empaillé. Quant à sa soeur, elle tapine dans un bar de Pigalle et a pour fidèle client le commissaire Léon, qui va mettre les deux pieds dans ce nid de vipères ! Petits meurtres gratinés au menu…

Dans Le Silence des canaux, Léon part en vacances sur une péniche avec son tricot et son chien. Peinard ? Pas vraiment… Des cadavres au visage arraché sillonnent ses promenades, et on dirait que le criminel s’amuse à suivre le commissaire… Quand on s’ promène au bord de l’eau, comm’ tout est beau… Léon va vite devoir reprendre du service.

Mon avis : J’aime les policiers. J’aime l’humour. Et quand les deux sont réunis dans le même livre, je bois du petit lait ! J’ai découvert le commissaire Léon avec son dernier tome « La petite fêlée aux allumettes » un peu par hasard, mais depuis je suis fan, et ces 2 tomes sont les 4ème et 5ème que je lis et je ne me lasse toujours pas !

Dans le premier tome le commissaire Léon enquête sur une famille dont les membres sont décimés les uns après les autres. Dans le second, ses vacances sont perturbées par un tueur en série qui vient l’obliger à travailler même sur sont lieux de vacances : une péniche.

Je pense l’avoir déjà dit concernant les autres romans de l’auteure mettant scène le commissaire Léon, mais j’adore l’humour et l’ambiance titi parisien dans lequel baigne les intrigues policières. Entendons-nous bien, l’enquête policière dans un roman policier est très importante ! Il faut qu’elle soit bien écrite, que l’auteur balade un peu le lecteur, que ce dernier pense avoir trouvé qui est le tueur, avoir déjoué les pièges de l’auteur qui essaye de noyer le poisson pour mieux surprendre son publique. Tout ça, c’est très important. Mais dans un livre de Nadine Monfils ça devient secondaire. Je suis plus pressée de retrouver le petit monde de Montmartre que de découvrir pourquoi le tueur tue, ou le voleur vol.

Les personnages créés par l’auteur sont des caricatures poussées à l’extrême pour mieux nous faire sourire, rire voire exploser de rire (avec option bidonnage). Je passe à chaque fois un réel moment de détente. Les jeux de mots sont délectables. Les joutes verbales hilarantes. Les descriptions très fleuries… Bref, ni l’auteure ni les personnages ne mâchent leurs mots pour mon plus grand plaisir !

Les chapitres sont courts, maximum 5/6 pages, essentiellement composés de dialogues mordants, les descriptions étant rapides, rendant la lecture rapide et fluide.

Ces livres se dévorent ! Petits bijoux de sarcasmes et portraits brossés sans chichi du Paris populaire. Vous l’aurez compris je suis fan fan fan et c’est avec plaisir que je me plongerais dans les deux tomes suivants prévus pour 14 février 2013.

Merci aux éditions Belfond pour cette lecture.


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