♦ Éditeur : Flammarion Jeunesse
♦ Nombre de pages : 192
♦ Date de parution : 28 juin 2017
♦ Prix : 13,00€
Résumé : On ne peut pas écrire un livre en un jour !
Je me suis assise à dix heures du matin avec une tasse de chocolat et un sandwich à la confiture, pour commencer à écrire la première page. Quand j’ai relevé la tête, il était 11h04. Je n’avais rempli que deux pages. Imaginant que pour produire des mots, il fallait me fournir en énergie, je me suis fait trois autres sandwichs. Quand j’ai relevé la tête, éblouie comme une chouette, épuisée par l’effort, les doigts collants de confiture, il était 11h47. J’avais écrit 101 mots. J’ai commencé à comprendre que mon plan, qui était d’écrire entre quinze et trente livres par an, avait besoin de quelques ajustements. J’ai fini d’écrire mon livre deux ans plus tard.
Mon avis : La 4ème de couverture m’ayant bien fait sourire, je me suis dit que ce livre serait idéal comme remonte moral 😀
Ce livre raconte quelques anecdotes d’une famille très peu conventionnelle… ou pas finalement !
Le prologue m’a beaucoup plu. J’ai adoré l’humour de l’auteure. Ça façon de dire qu’il est difficile d’écrire est hilarante. Vraiment ! Ensuite, je n’ai pas tout compris… Je pensais lire une histoire. L’histoire de l’auteure qui essaye d’écrire son premier roman, mais non. Les chapitres sont une succession d’aventures qui se passent sur une année pour une famille d’anglais moyens. Certaines de ses aventures sont plus drôles que d’autres, certaines réparties m’ont même fait sourire, mais je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages. C’est une jolie lecture légère, mais je ne fait clairement pas partie de la cible. J’aime les histoires un peu plus construites, avec un peu plus d’informations sur les personnages, un peu plus de descriptions… Mais je suis certaines que si le lecteur à entre 9 et 13 ans il va adorer découvrir cette famille anglaise déjantées.
Je remercie Flammarion Jeunesse pour cette lecture.

70/80
Une réflexion sur “Comment je suis devenue célèbre en restant chez moi ! – Caitlin Moran”